Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

philippe jaenada - Page 2

  • La Petite Femelle de Philippe Jaenada

    Imprimer

    philippe jaenada, pauline dubuisson, la petite femelle

    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Petite Femelle?

       "L'année dernière, j'avais été très marquée par ma lecture de Sulak, la biographie du célèbre cambrioleur, par le même Philippe Jaenada. A ce jour, cela reste l'une de mes meilleures découvertes depuis l'ouverture de ce blog, impossible donc que je rate cette nouvelle sortie."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "L'auteur décide cette fois-ci de retracer l'histoire de Pauline Dubuisson, accusée de meurtre, et sur laquelle à peu près tout a déjà été dit... sauf la vérité peut-être..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Pour que les choses soient claires une bonne fois pour toutes, et malgré les quelques bémols que je vais évoquer par la suite, ce livre me paraît une fois encore indispensable, vous ne pouvez pas vous en dispenser, vous ne pouvez pas passer à côté de cette lecture, de cette découverte indispensable de la nature humaine, de ce qu'elle a de pire, de ce qu'elle a de meilleur et de toutes les nuances de gris que vous trouverez en chemin entre l'un et l'autre. Une fois encore, Philippe Jaenada, sans en avoir l'air, nous fait aimer son criminel, malgré ses actes, à cause de ses actes. On souffre avec Pauline, on tremble avec elle, on tient l'arme avec elle. On voudrait la protéger, la consoler, on s'énerve contre ces abrutis de journalistes, ces fausses féministes en herbe, ces menteurs, ces jaloux, on crie, on s'insurge avec plus de soixante ans de retard mais c'est comme si c'était aujourd'hui. Au milieu de tout cela, l'auteur nous fait parfois rire aussi,philippe jaenada,pauline dubuisson,la petite femelle digresse souvent, un peu trop même à mon goût et sur des sujets parfois qu'il pourrait tout autant garder pour lui, merci bien. Mais bon, comme à "ses criminels", on a du mal à ne pas tout lui pardonner."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Comme avec Sulak, je quitte Pauline avec regret mais entre Philippe et moi, en tous cas, c'est loin d'être fini. A chaque fois que je lis un article sur un destin intéressant je me dis que cela ferait un bon livre sous sa plume et je guetterai les prochaines parutions avec impatience. Et par-dessus tout, j'adorerais qu'il nous raconte un vrai méchant et tester sa capacité à nous le faire aussi bien aimer."

     

        Mlle Alice, merci, et à lundi prochain... 

    Retrouvez ma chronique de Sulak ICI 

  • Sulak de Philippe Jaenada

    Imprimer

    sulak,philippe jaenada,bruno sulak,julliard

    • Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Sulak?

       "C'est la présentation de l'éditeur qui m'a donné envie de lire ce livre et de participer un peu à la rentrée littéraire pour une fois."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "L'auteur nous raconte avec tendresse, la vie de Bruno Sulak, braqueur audacieux et fascinant des années 80."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

       "Dès les premières lignes, j'ai adoré la plume de l'auteur: son humour surtout, la façon de s'impliquer dans le récit. Mais au bout d'une centaine de pages, l'écriture ne suffit plus, encore faut-il s'intéresser à la vie de Bruno Sulak. Comme Jaenada commence par nous raconter l'histoire de son grand-père puis de son père, j'avoue que j'ai le temps de me poser la question sur l'intérêt de ce livre pour moi et je commence même à être agacée par la tendance de l'auteur à tout pardonner à Bruno Sulak, à lui trouver des excuses, à dire que rien n'est de sa faute, le pauvre. Puis la rencontre a lieu entre ce bandit au grand coeur et moi et comme chaque personne qu'il a croisésulak,philippe jaenada,bruno sulak,julliard sur sa route, il me séduit. A partir de là, il m'a été très difficile de lâcher le livre. A chaque pose, je m'empressais de raconter ses péripéties à tout mon entourage et chacun voulait en savoir plus. Ma mère me pressait même de finir pour connaître l'épilogue et je dois dire que je ne me suis pas fait prier."

    • Et comment cela s'est-il fini?

       "Je ne dirai rien sur la fin car je ne veux pas gâcher le suspense. Je peux vous dire que ce livre m'a procuré plus d'émotions qu'aucun autre livre depuis au moins un an, m'a fait rire, pleurer et que je pense régulièrement à Bruno Sulak..."

     

        Mlle Alice, merci, et à dimanche prochain...